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critiques

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Anita Nardon | Association Internationale de Critiques d'Art

Avec discrétion...et talent

 

« Les expositions d'Ophira Grosfeld seront à chaque fois le résultat dune longue maturation, d'une recherche vraiment approfondie du langage des couleurs et de la force de la lumière, cette lumière qu'elle appelle de tous ses vœux et qu'elle emprisonne dans ses pinceaux avec laisance trompeuse de tous les artistes qui possèdent la technique à fond. Ophira découvre des tons nouveaux, des nuances plus subtiles et démotions profondes qui animent limage .Il n' y a pas de représentation photographique mais un frémissement de lumière avec des traits subtils ou des aplats de tons contrastés » -2009 Galerie Brenart International

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Publié à Bruxelles News- socles et cimaises - 2006 | Anita Nardon A.I.C.A

La lumière triumphante

 

«La nature exubérante, parfois indisciplinée, est omniprésente dans l'œuvre d'Ophira Grosfeld qui vit en aquarelle comme d'autres vivent dans l'opulence. Elle use d'une palette de couleurs douces mais fortes, harmonieuses et pourtant ingrates; telle cette déclinaison de mauves qui présente un risque majeur; rien ne peut être classique et sage dans cette peinture à l'aquarelle qui chante la vie. Formée à l'Académie des Beaux-Arts de Kinshasa, la vie de lartiste fut nourrie de changements de lieux jusqu'au retour vers notre nord où la lumière change soudain et fait place à un long poème visuel à la gloire des bois, des eaux et de ces merveilleux nuages qui nous font un ciel douate par-dessus une terre d'eau.Tout est émotion et ravissement dans la contemplation d'un filet d'eau qui court entre des cailloux, le temps est suspendu, en attente, sous un ciel où pointe la lumière du jour naissant ou l'incendie dun crépuscule. L'artiste est toujours attentive au moindre souffle de vent, à la direction changeante de la lumière qui a valeur de trésor mais aussi despérance. Dans chaque aquarelle on retrouve la même fascination pour la source lointaine de la vie, cette lumière qui, à chaque fois, surgit du fond et fait vibrer ce qui pourrait être une image ordinaire du quotidien si elle n'était revue par la sensibilité d'une artiste. Membre de l'Institut Européen de l'Aquarelle, cette exposition est l'occasion de revoir ses coloris subtils et d'apprécier cette technique difficile dont elle se joue avec virtuosité. »

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2004 | Didier Paternoster licencié en histoire de l'art

«Les aquarelles d'Ophira Grosfeld émane une force qui se nourrit à la fois des éléments du paysage et d'une introspection sans fard, une sensibilité aigue qui pousse l'artiste de plus en plus dans la voie de l'abstraction. Elle s'y engage avec une certaine jubilation sans toutefois rompre totalement avec le réel. Ainsi est née une suite d'impressions, de "paysages intérieurs", voire de "rêveries", qui vont bien au-delà de la recherche picturale. Ces dernières aquarelles appartiennent indubitablement au monde de la pensée et plongent leurs racines très profondément dans le vécu de l'artiste. On ne peut rester insensible à la vivante authenticité et à l'audace technique d'une œuvre qui permet de multiples lectures»

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Entre les spères de l'infini : l'oeuvre d’Ophira Grosfeld

 

Communiqué par François Speranza le 15 juillet 2017

"...OPHIRA GROSFELD est une artiste pour qui le premier coup de pinceau détermine les prémisses d’un parcours menant, de rythme en rythme, vers la finalité (même provisoire – si tant est qu’une œuvre soit « définitivement » terminée) d’une création en tant que prise de conscience. Un trait elle, n’est jamais quelque chose de gratuit, en ce sens qu’il amène un autre trait, soit en continu, soit en parallèle. L’harmonie se conçoit dans une suite de traits, révélant un pinceau affiné, « rythmique », soutenu par des couleurs variées, jamais criardes, dont dénominateur commun est un arrière-plan au chromatisme souvent uniforme dans les teintes. Son œuvre est abstraite. Il s’agit, ici, d’une abstraction « lyrique » parfois calme et ordonnée. Parfois regorgeant d’une passion lumineuse, traduite dans un chromatisme de circonstance. Une abstraction où tout répond à tout. il s’agit d’une œuvre faite de musique souvent syncopée comme le jazz, où le « staccato » règne en maître. Une musique obéissant à une mathématique cachée dont on ne perçoit que l’aspect visible émergeant au regard..."

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